Jamais je ne ferai d’enfants dans ce monde de « M »

Dans le cadre de la dernière édition du journal Vision 2035 avec le thème « nos enfants » , un article touchant un sujet sensible est paru… Faire des enfants dans notre monde actuel… l’article est ci-joint!

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Rythmes de femmes

Formation continue du Comité !

Le comité Graines de Vie travaille si dur, depuis déjà 2 ans… 

Il y a tant à penser, à organiser, à explorer… comment rester efficaces dans des moments qui ne sont pas propices à telles ou telles tâches ? Comment ne pas nous épuiser ? Comment continuer durablement et de façon pérenne ? Comment mettre en place les outils adéquats pour s’assurer le respect du rythme de chacune ?  

Quel beau cadeau nous a fait Marianne Grasseli Meier la semaine dernière… on a pu avoir certaines réponses pratiques qui ont émergées de sa mini formation grâce à de meilleures connaissances sur le cycle féminin et ce fût un véritable privilège que d’y accéder. 

Nous avions besoin d’apprendre comment allier travail et respect de ces cycles et nous sommes maintenant équipées pour explorer ensemble, en dialoguant, partageant, comprenant mieux ce que chacune d’entre nous vit selon là où elle en est dans son cycle, dans sa vie, dans son être et tout cela en restant dans l’idéal des valeurs de Graines de Vie !! 

Il nous tient à cœur de continuer maintenant de respecter les rythmes et besoins de chacune car c’est l’essence même, le terreau de Graines de Vie… que nous sommes désireuses de transmettre à travers l’exemple à nos membres.

Merci encore Marianne !

Et si vous êtes désireuses d’en savoir plus ou de recevoir ce genre de connaissances, nous pourrions répondre à votre besoin en organisant une telle transmission chez Graines de Vie aussi pour vous…

A propos de Marianne, il y a eu, la même semaine, un article paru dans le Journal Migros, le 25.10.2021 

La sorcière sort du bois | Migros

Mon univers

LA SORCIÈRE SORT DU BOIS

Elle n’a ni nez crochu, ni chapeau pointu. Marianne Grasselli Meier, écothérapeute, est bien loin de l’imagerie médiévale. Pourtant, elle dit appartenir à cette catégorie de femmes jadis pourchassées et brûlées vives, que la pop culture et l’écoféminisme ont remis sur le devant de la scène.

Texte Christine Werlé

Photos Matthieu Spohn

Marianne Grasseli Meier, chamane, dans le Jura bernois a participé au projet de livre d’illustrations sur les sorcières modernes de la photographe lausannoise Anne Voeffray.

Il y a les sorcières qui se définissent comme telles. Et puis il y a celles qui sont perçues comme telles. Marianne Grasselli Meier appartient à la deuxième catégorie. Mais n’imaginez surtout pas la vieille femme méchante, vivant recluse dans la forêt. Marianne Grasselli Meier, c’est la fille d’à côté, sympathique et bienveillante. Dans son village de Péry-La Heutte (BE), cette écothérapeute de formation ne jette aucun sort ni ne concocte de filtre d’amour: si l’on fait appel à ses services, c’est simplement pour se sentir mieux. «Lors de mes écorituels, qui se déroulent en pleine nature, je remets les personnes en lien avec la nature dans le but de régler leurs problèmes. Je ne pense pas faire de la magie: je débloque des nœuds, j’ouvre des portes, et tout devient possible», explique Marianne Grasselli Meier, qui assure avoir changé la vie de certaines personnes par ses soins. «Par exemple, des femmes qui pensaient qu’elles ne pourraient plus avoir d’enfants ou ne plus retrouver l’amour. En fait, mon travail, c’est précisément ce qu’on demandait aux sorcières du Moyen Âge.» Mais point ici de plume de corbeau, de bave de crapaud ou d’autel sacrificiel. «Je ne me reconnais pas dans la panoplie classique de la sorcière. Je soigne le corps et l’esprit au moyen des quatre éléments que sont l’air, le feu, la terre et l’eau.»

Une femme à part

Marianne Grasselli Meier n’a pas toujours été cette sorcière contemporaine que son entourage voit en elle. Née à Genève le 5 décembre 1957, elle suit une formation de musicienne classique au conservatoire, dans les pas de son père. Elle se marie une première fois à 18 ans mais peine à trouver sa place dans la société. «J’ai toujours été un mouton noir. Je me sentais vulnérable, incomprise, décalée.» A la recherche de son identité, elle entame un cheminement spirituel à l’adolescence. La jeune Marianne s’éloigne du christianisme. «Le monothéisme me gênait, et je me suis tournée vers le paganisme, plus en lien avec la nature et surtout avec la lune et la féminité.» Dans les années 1990, après s’être formée à la musicothérapie, sa recherche de communion avec la nature l’amène presque logiquement à l’écothérapie, qu’elle pratiquera longtemps dans l’ombre. Son destin, Marianne Grasselli Meier ne pourra toutefois pleinement l’accomplir que sur cette terre mystique qu’est le Jura bernois, où son troisième mariage la conduit  en 2010. «Je me suis souvent dit que je m’étais donnée naissance à moi-même.» 

Par la pratique d’écorituels, Marianne Grasseli Meier aide les personnes à se reconnecter avec la nature. En 2013, un grave pépin de santé fait bifurquer son parcours de vie: un décollement de la rétine la laisse aveugle pendant près de neuf mois. Guérie après quatre opérations, elle décide de sortir définitivement du monde de la nuit en mettant en lumière sa pratique. «C’est à ce moment-là que j’ai commencé à écrire des livres sur l’écothérapie. L’écriture a aussi facilité mon intégration dans la société. Ecrire un livre, cela veut dire que l’on a accès à une structure de pensée», raconte Marianne Grasselli Meier. Sa détermination à vivre désormais au grand jour la conduit aussi à participer au projet de livre illustré de la photographe vaudoise Anne Voeffray, «Chasse aux sorcières». Une magicienne parmi une centaine d’autres, immortalisée par la grâce du papier glacé.

Au grand jour

Si aujourd’hui les sorcières n’ont plus peur de la lumière, c’est grâce à Hollywood, bien sûr, mais surtout grâce à l’écoféminisme, ce courant né dans les années 1970 qui voit un lien entre la destruction de la nature et l’oppression des femmes. «Le combat pour l’écologie rejoint aujourd’hui celui pour les droits des femmes, et ça, c’est nouveau par rapport aux sorcières du passé», commente Marianne Grasselli Meier. D’ailleurs, n’a-t-on pas vu des Genevoises revendiquer le statut de sorcière lors de la grève des femmes du 14 juin 2019? «Ce sont des jeunes femmes qui se rebellent contre le conservatisme, qui veulent être libres, sans tabou, indépendantes sexuellement», analyse notre écothérapeute. Car c’est aussi cela la définition d’une sorcière moderne: l’accès à la liberté et à la non-soumission.

N’empêche. La réhabilitation n’est pas encore entérinée. Si elle suscite plus la curiosité que le rejet, Marianne Grasselli Meier reste une originale à Péry-La Heutte (BE), une sorcière que l’on continue de consulter en secret, presque honteusement. «Ma pratique n’est pas encore très ouverte, car il y a de l’impalpable dans mes soins.» Et la part de folklore reste tenace dans l’esprit de ses patients. «Ils attendent de moi du spectaculaire, mais je ne peux pas leur en donner. Je remets à mes patients des outils. La guérison ne peut venir que d’eux.» Sortir du folklore, oui, et enfin exister en dehors d’Halloween.

Le Musée des sorcières

Fondé en 2009 par Wicca Meier-Spring, le Musée des sorcières est le premier du genre en Suisse. Installé dans les salles historiques du château de Liebegg à Gränichen (AG), sur une surface de 275 m2, il possède une collection de plus de 1300 objets en lien avec la sorcellerie. «Hexen», son exposition permanente, présente les procès de sorcières en Suisse et en Europe, et met en lumière leurs conséquences sur le présent. L’exhibition ouvre également une fenêtre sur l’histoire des croyances et des superstitions populaires suisses, raconte des légendes et fait revivre les coutumes de nos ancêtres. Les textes explicatifs sont majoritairement en allemand, mais certains sont également traduits en français. Un audioguide gratuit en six langues est toutefois disponible à l’entrée du musée.

Mon Bébé Ange

J’ai beaucoup hésité à en parler et, après reflexion, je me suis dit que la fausse couche ne devait plus être un tabou.
On est tellement à le vivre finalement, et si mon témoignage peut servir à aider une personne, ca sera déjà ça.
Je suis quelqu un de réservée, j ai du mal à dire quand je vais mal. C est un peu notre culture ici, quand on nous demande si ca va, on répond « oui merci » meme si on souffre.


Et oui je sais bien j’ai déjà deux enfants, et oui c’est arrivé avant les 3 mois donc c’est courant, et oui pleins de raison qui me dise que j’ aurai dû vite m en remettre, que finalement que ce n est rien.


Mais non, j ai souffert je souffre encore et mon cœur c’est brisé. Je l ai rêvé ce bébé … chaque annonce de grossesse est un déchirement, je suis pas jalouse, j ai juste envie de crier « moi aussi j aurai du accoucher en …. ». Mais non, on dit rien. Quelque personne sont là nous comprennent, nous soutiennent, heureusement et merci.


Et ce que je retiens de tout ca, c’est vivez votre deuil, osez dire au gens que maintenant vous n’ y arrivez pas, que c est trop dur, que vous souffrez. Vous en avez le droit et PERSONNE n a à minimiser votre souffrance.

Je pense à vous toutes et vous serre dans mes bras ❤

(Texe de Septembre 2019)

Dessin de Korig’ anne

Chouette experience

Hier matin, Agnès et moi avons rejoint les locaux de RJB peu avant 10h00. Nous avons été accueillies par Laurent pour son émission À votre service. Je découvre pour la première fois les « coulisses » d’une radio, non sans stress d’y « passer » et suis impressionnée par Laurent : il est à la fois tout attentionné et soigne notre venue, nous met à l’aise avec finesse et en même temps, il gère ses interventions directes à la radio, waw ! Il est à la fois partout et en même temps tellement présent. Puis, ça y est, c’est parti, nous sommes à l’antenne et les auditeurs en apprennent un peu plus sur Graines de Vie… Cette première partie achevée, Laurent ne manque pas de me féliciter pour ces débuts radio! Il nous avait bien dit, que suite à la montée d’adrénaline, le plaisir s’ensuit et on termine par dire que ça s’est passé trop vite ! Je ne peux que confirmer !!! Eh oui, il y aurait eu tant à partager encore mais le temps à filer à la vitesse grand V… c’est la Vie 😉
Ainsi, j’en profite pour vous inviter une fois de plus à venir nous rencontrer et en découvrir plus sur notre assoc, notre programme et pour la joie toute simple de partager et être ensemble. J’en profite aussi pour remercier Laurent qui, comme nous, incarne ce pour quoi il « s’anime » ; il s’est accroché pour voir son émission être réalisée et il peut être fier de nous faire partager de bonnes et joyeuses nouvelles… Lui aussi est au service des autres ! Merci Laurent pour cette belle rencontre, pour ce chouette moment.
Merci aussi à Agnès, car sans son soutien, je ne serais pas aller seule à la radio… C’est ça aussi Graines de Vie… la possibilité de vivre plein d’expériences différentes et on ose plus lorsque la bienveillance est de la partie…
Alexia

  • Nos excuses à Luna pour l’aspect « médical »… ce sont les aléas du direct ! Ce qu’a voulu expliquer Agnès est que la maison de naissance est reconnue par le système de santé suisse et donc des caisses maladies. Cependant, l’accompagnement et les naissances n’y sont en soi pas médicalisés.

Crise des 6 ans

Crise des 6 ans … Vous saviez vous qu’il existe une crise dès 6 ans ? La crise d’adolescence infantile olala c’est exactement ça chez nous, j’ai un mini adolescent à la maison et je n’exagère pas : il nous répond, nous insulte, nous crie dessus, ses réponses, c’est toujours « non » ou « mais pourquoi ? », et il a aussi ce petit ton insolant dans la voix. 🤦🏻‍♀️😬Maintenant que je sais que c’est encore une phase normale du développement, on va attendre que ça passe, comme les autres 2 ans et 4 ans qui ont précédé… oui on a eu droit à toutes 😊.  Vivement la suivante lol est-ce que ça s’arrête un jour ? Et je peux vous dire qu’entre le mini qui fait la crise des 4 ans et le mini adolescent de 6 ans, c’est gratiné à la maison … Et nous pauvres parents on doit rester dans la bienveillance l’accompagnement et l’acceptation… mais que c’est dur, car la bienveillance envers nous où est-elle ? En plus, nous aussi, on a nos journées compliquées et nos blessures… Soyons aussi bienveillants envers nous nous-mêmes ! Heureusement une fois la crise passée, c’est câlin à gogo, des « maman, je t’aime » 50x par jour, « tu es la plus belle » et plein de phrases charmeuses. On s’excuse on discute, je sens qu’il regrette vraiment.  Ce qu’il faut comprendre dans tout ça, c’est que ce n’est pas réfléchi ou prémédité, c’est très impulsif et je sens souvent que vraiment il est dépassé par tout cela. C’est énormément d’émotions qui traversent ce petit cerveau de 6 ans. Parfois je me dis que des cours pour apprendre à être parents et apprendre à gérer les moments si compliqués ne seraient pas du luxe. Lol Donc à tous les parents qui traversent ces phases compliquées, on vous envoie plein de courage et n’oubliez pas : ça finit par passer 😊. N’hésitez-pas à partager vos moments compliqués, disons-nous quel a été l’âge ou les âges compliqués chez vos enfants et vos astuces pour gérer ces moments !!

Texte blog: vous aimeriez poster et participer avec vos textes au blog de Graines de Vie ? Merci de nous soumettre vos textes avec ou sans photos à grainesdevie.bienne@gmail.com avec votre nom, prénom, petit profil et date d’écriture du texte et nous le publierons ! 

Graines de vie avec C2gether

C2gether une équipe composée de trois psychologues anglophones à Bienne invite Agnès Leonetti de Graines de vie.
Nous avons eu une merveilleuse occasion de parler de notre association et de comment trouver du soutien, une Doula, anglophone dans la régionale Berne.

C2gether, a team of three English-speaking psychologists in Biel invited Agnès Leonetti from Graines de vie.
We had a wonderful opportunity to talk about our association and how to find support through an English-speaking Doula in the Berne region.

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